[Calice] Alec Baker [By Kendra]

>> Caractère : Alec, dans le malheur d’avoir un père biologique loin d’être parfait, à la chance d’avoir un superbe exemple à ne pas suivre. Ainsi, c’est quelqu'un de fidèle et respectueux, que ce soit en amitié comme en amour. C’est aussi quelqu'un de persévérant, il essaye d’aller toujours au bout de ce qu’il fait, et quand il a une idée en tête c’est très difficile de l’arrêter. Ce fut un avantage dans son parcours professionnel, il a tout fait pour devenir un membre du SWAT et il y est parvenu, mais cela s’est avérer être un inconvénient dans les cas où il faisait fausse route.
Sous ses airs de grand gaillard, c’est quelqu'un de très affectueux avec les personnes qui lui sont proches, grâce à l'amour que sa mère lui a donné durant son enfance. Il est d’un naturel généreux, et n’hésite pas à venir en aide à ceux qui sont dans le besoin, d’où son envie de toujours d’intégrer les forces de l’ordre.
Alec n’est pas du genre à perdre son calme, la formation du SWAT lui a appris à garder son sang froid dans les conditions les plus extrêmes, mais il y a des exceptions, lorsqu’un de ses proches est en danger, il a tendance à laisser ses émotions le submerger.


>> Description Physique : Alec est un jeune homme à la morphologie athlétique, 1.83 mètre, pour 94 kilos, et doté d’une musculature développée sans excès, lui offrant un corps particulièrement bien sculpté, et recouvert d’une peau blanche.

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Il possède une courte chevelure châtain, coiffée nonchalamment, parfois avec un peu de gel selon les occasions. Il a des yeux clairs dont les iris mêlent vert et marron, mis en valeur par de longs cils et des sourcils fins. Il n’est pas rare également, qu’Alec laisse une barbe de quelques jours couvrir le bas de son visage.
Il a deux signes distinctifs sur son corps, un naturel, qui est une tâche de naissance brune formant une sorte de « V » sur sa fesse droite, et un tatouage sur l’avant bras gauche représentant un aigle avec les initiales S.W.A.T gravées sur l’aile gauche.
Alec a un style vestimentaire plutôt décontracté, le soir, il troque son uniforme pour un jean, une chemise ou tee-shirt selon la saison, mais il quitte rarement sa veste en cuir marron.

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>> Origines : Le grand père d’Alec était Connor Baker, un immigré irlandais, né dans le village de Clifden dans le comté de Galway, sur la côte ouest de l’Irlande. Il arriva aux Etats-Unis durant la grande vague d’immigration irlandaise du début du XXème siècle, pour fuir un pays en proie au chômage et à la famine, et partir à la conquête du rêve américain.

Une fois arrivé à New York, comme pour la plupart des immigrés, ce fut la désillusion, tous entassés dans le même quartier, ils se rendirent compte d'avoir fuit l’Irlande pour une nouvelle, mais l’avantage c'était qu’entre Irlandais, ils étaient tous solidaires. Ainsi Connor enchaina des petits boulots pour des familles Irlandaises déjà bien installées, mais c’est grâce à la prohibition qu’il parvint à gagner correctement sa vie. Il fut embauché dans une distillerie clandestine, c’était un travail illégal mais très bien payé. A la fin de la première guerre, il tomba sous le charme d’une immigrée irlandaise comme lui, et de leur union naquit pas moins de 7 enfants, dont le dernier né Dwayne Baker, le père d’Alec. Dwayne, de nature aventurière, a vite étouffé dans cette grande famille, et il quitta la demeure familiale de New York dès ses 16 ans pour l’Ouest dès Etats-Unis, où une révolution culturelle était en marche.

Hollywood, sans doute un des mots les plus connus au monde, et c’est avec des étoiles pleins les yeux que Dwayne arriva à Los Angeles, bien décidé à devenir acteur. Grâce à sa belle gueule, son regard charismatique, et a force de persévérance, il enchaina les petits rôles, et réussi à séduire quelques réalisateurs jusqu'à devenir une valeur sûre du cinéma américain, mais toujours abonné au second rôle, il n’occupera jamais le devant de la scène. Cela ne l’empêcha pas de vivre de nombreuses idylles avec comédiennes ou autres pin-up du moment, épris de liberté il avait sa propre définition du couple et de la fidélité… Ainsi, il a été marié pas moins de 5 fois, et si la plupart de ses conquêtes étaient des comédiennes ou des personnes du show business, l’une d’elle fut une exception. Dwayne, la trentaine dépassée depuis quelques années, était tombé sous le charme et la fraicheur d’une jeune étudiante en journalisme, Sandra Orton, flattée qu’un grand et beau comédien d’Hollywood puisse s’intéresser à elle. Très vite elle tomba complètement amoureuse de cet homme mûr et viril, de ses paroles qui lui promettaient monts et merveilles, si bien qu’elle accepta même le fait qu’il puisse partir des semaines pour tourner un film.

Cette histoire passionnée dura presque un an, jusqu’au jour où la pauvre et naïve Sandra eut la preuve des ragots qu’elle ne voulait pas croire, dans un magasine people, la preuve de l'infidélité de Dwayne. Effondrée, elle eut beaucoup de mal à se remettre de cette séparation, si bien qu’elle pensa en être malade, mais malheureusement pour elle, les nausées matinales qu’elle commençait à avoir annonçait une grossesse. Trop fière… Trop honteuse… Elle ne put se résoudre à rappeler l’homme qui lui avait fait tant de mal, et c’est seule qu’elle mit au monde 8 mois plus tard, le petit Alec, dans un hôpital de Los Angeles. Contrainte d’abandonner ses études en journalisme, elle travailla un temps comme femme de ménage pour un réalisateur richissime à Beverly Hills, afin que son bébé ne manque de rien. Mais avec ce salaire de misère c’était trop juste pour boucler ses fins de mois, et les tentations de l’argent facile étaient grandes. Ainsi, lorsque l’homme qui l’employait fut un peu plus avenant avec elle, et qui lui fit miroiter quelques billets facilement gagnables contre quelques faveurs, elle pensa à son fils, et mis sa dignité de côté.

Ce manège dura près de deux ans, jusqu'à ce que, sans doute signe du destin, le réalisateur pour lequel elle travaillait, organise une réception où Dwayne fut présent. Les deux anciens amants tombèrent nez à nez, et l’acteur fut très attristé de voir la belle et jeune étudiante qu’il avait laissé, dans une telle situation. Il demanda à lui parler mais celle-ci refusa, et quitta la réception. Sandra avait honte de ce qu’elle était devenue, une vulgaire esclave à la solde d’un vieux réalisateur pervers, et c’est en larmes qu’elle rejoignit son petit appartement au sud de la ville. Elle n’avait qu’une envie revoir la petite bouille qui lui redonnait le sourire à chaque fois, elle alla donc frapper à la porte de sa voisine qui gardait Alec durant ses absences. Mais quand elle ressortit avec son fils dans les bras, Dwayne lui faisait face. Il l’avait suivi depuis qu’elle avait quitté la réception, et quand il posa les yeux sur l’enfant que son ancienne amante tenait en main, il comprit tout. Une longue discussion s’en suivi, et s’il n’était pas question qu'ils se remettent ensemble, Sandra finit par accepter que Dwayne l’aide financièrement. Ainsi, le comédien reconnu Alec comme son fils, et ce dernier pris donc le nom de Baker, et la jeune femme put en finir avec son emploi humiliant.



>> Enfance : Jusqu’à l’âge de 3 ans, Alec vécut seul avec sa mère, elle mit beaucoup de temps à pouvoir refaire confiance à un homme, mais l’un d’eux s’arma de patience et parvint à rompre les barrières qu’elle s’était elle-même érigées. Après un mariage et quelques années plus tard, un véritable noyau familial se reforma, et Alec qui ne voyait son père biologique qu’a de rares occasions, n’eut pas de mal à le substituer, même si à chaque anniversaire, un cadeau de sa part était livré à la maison.


Les années passent et le corps d’Alec évolue, le voilà devenu un adolescent, et de son père il a hérité la beauté, au vu du regard des femmes sur lui qui commencent à changer. Mais fort heureusement il n’a pas hérité de son caractère de Don Juan, il a bien trop d’amour et de respect pour sa mère pour devenir le même homme que lui. Ainsi jusqu’à ses 15 ans et son entrée dans un lycée de Los Angeles, il n’avait connu que peu de filles. Parallèlement, il entra dans l’équipe de basket du lycée, où son coach à bien vite décelé chez lui des capacités physiques supérieures à la moyenne. Durant sa première année, il perdit sa virginité, très courtisée par la gente féminine, il ne trahit pas ses convictions, et s’il aurait pu changer de petite amie tous les mois, il n’en fit rien.

Alec est plutôt un bon élève, mais manque clairement de motivations, les cours théoriques le lassent, et il préfère de loin le parquet de basket où il excelle. Il passe en deuxième année et la question de son orientation se pose, son coach lui conseille de tenter sa chance dans une carrière professionnelle, sa mère voudrait plutôt le voir avec une blouse de médecin ou un costume d’avocat, mais rien de tout ça ne l’intéresse. Il a une toute autre vocation et ce depuis le jour où un parent d’élève déséquilibré avait pris une classe en otage et menaçait d’abattre l’un d’eux toutes les heures. Ce jour là, Alec était dans la cour du lycée avec le reste des élèves, lorsqu’il a vu un fourgon noir avec les initiales de Special Weapon And Tactics. C’est sous un regard impressionné qu’il a vu les agents vêtus de noirs sortir du véhicule et aller se positionner autour du bâtiment pour le prendre d'assaut, il voulait en faire partie, être un de ces soldats d’élites.


>> Age adulte : A ses 18 ans, Alec sortit diplômé du lycée, et bien décidé à devenir membre du SWAT, malgré tous les efforts de sa mère pour l’en dissuader. Devenir l’un de ces soldats d’élites est particulièrement ardu, ainsi il doit obligatoirement avoir un minimum de 3 ans d’expériences dans la police. Alec passa donc le concours du LAPD (Los Angeles Police Department), et le réussi avec brio, terminant à chaque fois dans les 3 premiers des exercices physiques.

Jusqu'à ses 21 ans il officia en tant que policier à Los Angeles, il fit ses premières armes, et fut confronté à des affaires plus ou moins graves, ce qui forgea son caractère au delà de son physique. Il était maintenant en droit de poser sa candidature pour intégrer le SWAT, ce qu’il ne tarda pas à faire, et il fut autorisé à passer les tests très rigoureux qui étaient requis. Il finit premier de son groupe, et fut donc accepté. A la suite de quoi il suivit une formation qui dura presque un an, elle était extrêmement éprouvante, mais Alec était déterminé. Ses camarades, devinrent de véritables frères d’armes pour lui, ils vécurent ensemble durant de longs mois, ils apprirent à tout partager. Comme la tradition le voulait, quand leur formation prit fin, ils se retrouvèrent tous lors d’une sorte de soirée d’intégration, où ils firent le serment « To Protect and Serve » (Pour Protéger et Servir), et ils se firent tous tatouer le même symbole sur l’avant bras gauche, représentant un aigle royal avec les initiales du SWAT, signe qu’a partir de ce jour ils seraient membres à jamais de l’organisation.

Deux ans passèrent où Alec intervint dans différentes missions partout sur le territoire des Etats Unis, ainsi que le long de la frontière mexicaine. Son travail lui plaisait énormément, mais il y avait un prix à payer, il n’y avait place pour rien d’autre dans sa vie, si ce n’est le coup de fil hebdomadaire pour sa mère. A côté de ça, ses seuls véritables amis étaient ses collègues, et au point de vue sentimental c’était le néant. Il faut dire que les femmes qui acceptaient de voir leur amant que quelques fois par mois ça ne courraient pas la rue. Alec avait donc finit par tout simplement oublier l’idée d’avoir une relation sérieuse, trop compliquée à gérer, et comme ses supérieurs lui disaient : « Votre vraie femme c’est le SWAT ». Enfin il y avait bien Victoria Keating, une membre du SWAT tout comme lui, que tout le monde appelle Kitty. Ils se sont tout de suite bien entendu, peut être parce qu’ils étaient tout deux d’origine Irlandaise, quoi qu’il en soit, il y avait une sorte d’attraction entre eux, mais ils savaient que les règles étaient strictes, et que les relations entre membres étaient formellement interdites. Sans doute que si Alec avait su les sentiments que Victoria avaient pour lui, il aurait bravé le règlement, mais prendre ce risque sans en être sûr, il n’était pas prêt pour ça, ils pouvaient perdre leur place, et surtout gâcher la belle amitié qu’ils avaient. Peut être aurait-il finit par faire le premier pas, si le temps lui avait permit de le faire… Mais ce ne fut pas le cas.

Un jour lors d’une banale mission d’escorte d’un criminel particulièrement dangereux, Alec et son unité furent attaqués, le fourgon dans lequel ils étaient fut renversé brusquement. Sans qu’ils n’aient le temps de faire quoi que ce soit, des bêtes, des sortes d’énormes chiens forcèrent la porte et s’en prirent sauvagement à eux. Tout se passa vite, du sang gicla, des membres volèrent, Alec sentit une énorme étreinte au niveau de sa cuisse, et ce qui devait être des griffes le lacérèrent. Puis il fut projeté violemment contre la paroi du fourgon et tomba inconscient, ce qui sans doute lui sauva la vie ce jour là. Son unité fut décimée, il n’y eut que peu de survivants, la plupart furent retrouvés morts, ou portés disparus. Ce fut le cas de Victoria, on ne retrouva pas son corps, mais son sang fut prélevé à divers endroits du fourgon, ne laissant que peu d’espoir qu’elle soit en vie.

Alec se réveilla le lendemain complètement déboussolé, sa vie venait de basculer, il avait entendu parler d’hommes aux facultés extraordinaires, mais delà à imaginer que les lycanthropes puissent exister… On lui expliqua ce qui s’était passé, l’attaque, la disparation de ses camarades, et sans doute le pire : son état. Sa jambe gauche avait subit de graves lésions, et s’il pouvait encore marcher, il ne pourrait plus courir, s’en était donc finit du SWAT pour lui. En un instant il avait perdu tout ce qui construisait sa vie, son travail et ses amis, qui étaient comme des frères pour lui. Il avait soif de vengeance, il avait la haine envers ces lycans, mais comment combattre un ennemi qui n’est pas censé exister ?

Bon gré mal gré, il fut contraint de quitter le SWAT, et depuis ce jour, il vit sur les confortables indemnités que lui versent l’état chaque mois, pour s'assurer que ses anciens agents respectent bien la clause de confidentialité. Désormais, Alec ne sort de chez lui que pour oublier ses soucis dans un verre de whiskey… irlandais bien sûr.

Un plissement de paupières, suivi de quelques battements de cils, achevèrent de sortir Alec de la torpeur de ses songes. Alors qu’un long soupire s’extirpait de sa bouche, son regard se posa sur le visage endormi de Victoria, à quelques mètres de lui. Il était éclairé par un mince filet de lumière qui sortait d’une petite lucarne du fourgon dans lequel ils se trouvaient. Il la trouvait tout simplement magnifique, elle semblait si douce quand elle dormait, loin du démon qu’elle pouvait être lorsqu’elle était éveillée. Ils se trouvaient tous les deux dans un des fourgons du SWAT, ils étaient en mission spécial, et les agents se relayaient par groupe de deux pour se reposer, et le tour d’Alec et Victoria allait prendre fin. L’irlandais se leva et s’approcha du banc où sa collègue s’était endormit tout habillée, il s’accroupit à son niveau, et sans doute dans un moment de faiblesse, il vint passer très affectueusement sa main sur la joue puis la chevelure ébène de celle que tout le monde appelle Kitty ici, en référence à son nom de famille : Keating.

Alec dut se convaincre lui-même, que son geste n’était qu’une simple retranscription de l’affection qu’il porte pour elle, même si ce genre d’attentions ou de regards, qui semblent jouer aux limites de l’amitié, se reproduisaient de plus en plus ces derniers temps. Le jeune homme retira lentement sa main du visage de Victoria, ils étaient les meilleurs amis du monde, et il ne voulait pas gâcher tout ça, sans compter le règlement du SWAT qui étaient très strict à ce niveau : « Pas d’alcool, Pas de drogue, pas de relation entre agents. ». Et puis s’il avait hérité de la belle gueule de son père, c’était loin d’être le cas en ce qui concernait la confiance en soi et l’assurance avec les femmes, il pensait qu’après tout, il y avait tellement d’hommes mieux que lui, surtout au SWAT, comment Victoria pourrait avoir d’autres sentiments que de l’amitié pour lui ?

D’une manière plus fraternelle, la main d’Alec vint se reposer sur le corps de Victoria, au niveau de son épaule, pour la secouer doucement afin qu’elle sorte de son sommeil.

« Réveille-toi Kitty. »

Les paupières de Victoria s’ouvrirent sur ses beaux iris marrons, qui vinrent tout de suite croiser le regard d’Alec. Elle se redressa, et s’étira le haut de son corps comme un chat, alors que sa voix trahissait le récent sommeil dans lequel elle s’était plongée.

« Notre tour de repos est déjà terminée ?... »

L’irlandais prit un léger sourire, il savait que Victoria avait toujours dû mal à se réveiller, mais avait sa petite idée pour lui faire accélérer le mouvement.

« Figure toi que j’ai oublié de mettre le frein à main du fourgon, on a roulé sur des dizaines de mètres je sais plus où on se trouve ! »

Les yeux de sa collègue s’écarquillent d’un coup, la vie dans le SWAT était très strict et une erreure comme celle-ci pourrait leur coûter cher.

« Mais ?! C’est pas vrai ?! Qu’est ce que t’as foutu ! »

Avant qu’elle n’aille vérifier l’état de la situation, il éclata de rire devant sa tête déconfite.

« Effectivement ce n’est pas vrai. »

Victoria constata bien vite qu’Alec venait de se jouer d’elle, ils avaient l’habitude de se taquiner à longueur de journée, et de faire ces sortes de farces à l’autre. Elle prit un air faussement colérique et lui jeta son oreiller à la figure.

« Espèce d’idiot ! »

Puis elle sourit, avant de commencer à rassembler ses affaires, pour s’équiper afin de rejoindre le reste de leur escouade, qui était positionnée tout autour d’un immeuble investit par des terroristes, menaçant de tuer plusieurs otages. Alec s’équipa à son tour, puis après plusieurs regards et sourire échangés, ils sortirent du fourgon.

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>> Comment avez vous connu le forum ? Par Kendra Swann