[Vampire] Lord Freyja Olöf [By Meg]

>> Caractère : En un mot ? Froid. Freyja est froide comme un iceberg, et si ce n’était sa beauté, personne ne l’approcherait car elle ne donne pas l’impression d’être sociale. C’est une réalité. Elle ne l’est pas. Et les rares personnes avec qui elle entretient des rapports doivent être prudents, parce qu’elle est extrêmement franche, et quand elle donne son avis, c’est rarement pour faire des compliments.
Hautaine aussi. Elle a tout à fait consciente de sa supériorité par rapport à beaucoup de vampires (en particulier les jeunes fous qu’elle ne supporte pas, d’où son rang) et surtout par rapport aux humains.
Prédatrice, manipulatrice et bonne actrice. Quand elle part à la chasse, elle ne se contente pas d’un humain ivre ramassé au coin d’une rue, en plus, l’alcool teinte le sang d’une saveur âcre. Non, quand Freyja chasse, elle suit sa proie, la teste, l’effraie ou la séduit selon son humeur et enfin s’en délecte. Tout ça dans les règles de l’art et la plus grande discrétion, cela va de soi ! Et quand elle chasse le jeune vampire inconscient qu’il faut punir, elle sait mettre à profit ses talents d’actrice pour se glisser dans la peau d’un nouveau-née ou d’un exclu avec maestria.
Il y a en elle également une grande soif de justice, et appliquer cette justice lui tient à "cœur". Il n’est pas absolument certain qu’elle soit totalement incorruptible, mais elle en donne l’impression.
Elle aime "punir". On pourrait taxer ce plaisir de cruauté, mais c’est juste une suite logique à son sens du respect des lois. Quelqu’un qui n’a pas respecté les lois doit être puni, en fonction de sa faute, c’est ainsi. Elle ne fait jamais entrer ses sentiments en compte, si tant est qu’elle en ait beaucoup. Si la personne à châtier est une connaissance, tant pis, la sanction n’en sera que plus dure.



>> Description Physique : Freyja a un physique typique de ses origines Islandaise, blonde dorée, une peau si diaphane qu’on n’y voit quasiment pas sa blancheur vampirique. Ses yeux sont bleus foncés mais virent au noir si elle se met en colère. Elle mesure 1m70 pour 64 kilos. Elle est loin d’être maigre, mais ses kilos sont bien proportionnés sur ses formes, elle a une poitrine généreuse et le reste des courbes à l’avenant. Elle est irrémédiablement perchée sur des talons d’au moins 10 centimètre, ce qui allonge sa silhouette et lui donne une démarche chaloupée qui attire de nombreux regards qu’elle ignore (tout du moins, quand elle n’a pas faim).
Ses cheveux sont soient lâchés soient ceints en un chignon lâche. D’un point de vue vestimentaire, ses tenus d’apparat datant de son temps d’humaine, qu’elle trouve absolument magnifiques, ne sont réservées qu’aux grandes occasions. Elle tient à passer inaperçue quand elle se promène la nuit, et donc s’habille de tenue très coûteuse mais en liaison avec les habitudes vestimentaires de l’époque. En ce moment, elle prise particulièrement la dentelle qu’elle accorde avec toutes ses tenues, en général des robes arrivant aux genoux ou aux pieds, rarement dans des couleurs vives, plutôt en noir, blanc ou gris.
Elle porte également un nombre incroyable de bijoux précieux sur elle.

>> Origines :La famille Arnkel est une très vielle famille de commerçant. Leur arbre généalogique remontre jusqu'en 1251 quand l'île Islandaise était sous les ordres du roi de Norvège.
Margrét Svala, la mère de Freyjia, était la fille d'une respectable famille des environs de Kopavogùr apparentée aux Arnkel. Lors d'une visite familiale, elle rencontra Haraldur Arnkel. Il n'était pas particulièrement ben homme mais c'était un homme bon et sa beauté à elle fit grand effet au jeune homme qu'il était. Elle ne retourna jamais chez elle et épousa cet homme à qui elle donna 4 enfants. C'était une maîtresse de maison avisé et cette union fut jusqu'à la fin une réussite.

Freyja est née en Islande en 1693, au temps de la domination Danoise, dans un bourg qui se nommera plus tard Akureyri, au milieu d’un très rude hiver qui emporta sa mère affaiblie. C’était le mois de décembre, mais on n’a jamais su la date précise.




>> Enfance : Freyja a toujours été une enfant silencieuse. Peut-être un pendant aux cris agonisant de sa mère que l’accouchement et le froid emportèrent quelques jours après sa naissance. Nourrisson, elle pleurait peu, si peu qu’on pouvait l’oublier dans un coin de la demeure familiale. Elle est la dernière d’une fratrie d’une sœur et de deux frères. Sa mère décédée, elle a été élevée exclusivement par une nourrice.

Sa famille ne faisait pas partie des nobles familles, mais ils étaient loin d’être pauvre. Son père travaillait dans le commerce fluvial et avait une importante flotte de pêche sous ses ordres, ce qui rapportait de considérable revenus qui permettait à toute la famille de vivre dans un relatif confort et de jouir des services de quelques serviteurs. Ils avaient perdus un peu d’argent lors du second mariage du maître de maison avec une jeune femme de très basse extraction qui avait dilapidé les revenus dans des achats compulsifs.
Heureusement, la nature voulut qu’elle meure quelques semaines plus tard d’une chute dans les escaliers, ce qui mit fin à cette frénésie de dépense et apporta un nouvel équilibre aux finances. Après cela, son père, Haraldur, ne se maria plus. Il avait espéré oublier sa première épouse qu’il avait tendrement aimé avec cette écervelée très charnelle mais c’était peine perdue.

Il regarda de loin grandir ses enfants. Ses ainés, les deux garçons, Almar et Sesil, étaient destinés à le rejoindre dans le commerce. Il maria à 16 ans l’ainée des filles, Enja, à l’homme dont elle s’était entichée, un paysan du nom de Sigmar, pliant sous leur volonté romantique à tous deux.
Feyja avait vu ce mariage d’un très mauvais œil et le futur lui avait donné raison. Aussi amoureuse que soit sa sœur, elle ne comprenait pas comment celle-ci pouvait accepter une position sociale si en dessous de la sienne uniquement à cause de ses sentiments. A présent, elle la voyait, dans des robes de mauvaise qualité car ils n’avaient que très peu de revenus , s’occuper du potager, des animaux de la ferme, ridicule à tremper ses bottes en cuirs dans la boue. Elle ne prenait plus soin d’elle.
Déjà peu jolie - elle avait le physique de son père - elle ne s’occupait pas d’elle et cela empirait. Les nombreux enfants qu’elle donnait à son époux épaississaient sa taille inexorablement. Et pire encore, elle entraînait sa famille dans sa chute, puisque tout le monde savait que les Arnkel s’étaient liés aux fermiers Hallur.

C’est en observant tout ceci que Feryja se jura de faire remonter sa famille dans l’échelle sociale et de sa marier plus qu’avantageusement. Elle était belle, elle le savait parfaitement, et elle allait en profiter pour s’offrir une meilleure vie que la sienne et redonner de l’éclat au nom de sa famille que son Père avait trainé dans la boue en acceptant une telle union, et en se s’en rendant même pas compte !
Elle avait une autre raison de vouloir s’enfuir rapidement d’ici, la raison même pour laquelle son Père se fichait peu de ce qu’on pouvait dire sur son clan. Freyja était le portrait craché de sa mère. Elle devenait, en grandissant, une gracieuse jeune femme, et son père la regardait avec des pensées qui n’étaient en rien paternelles. Dans ses mots, dans ses gestes, la jeune fille voyait bien qu’il aurait du mal à se retenir, et qu’un jour ou l’autre, elle devrait subir ses assauts.




>> Age adulte :Elle réussit à s’enfuir noblement. Près du petit manoir en pierre des Arnkel se dressait le château des Olöf, nobles depuis des générations. Ils avaient deux enfants, un fils âgé alors de 23 ans – Freyja en avait 18 – et une fille de 14 ans. Elle se lia d’amitié avec la jeune Sofi Olöf pour mieux approcher son frère qui mordit très vite à l’hameçon. Il n’était pourtant pas très beau, Jökull Olöf, pas bel homme du tout même, mais sa beauté à elle suffirait pour deux, et dans un savant mélange de froideur et de sourire, elle encouragea le jeune homme dans ses tentatives de séduction.
Il était impatient et caractériel, et très vite, lui demanda de se donner à lui.
Elle refusa énergiquement sans un mariage en bonne et due forme, et Jökull partit donc demander l’autorisation à ses parents d’épouser la fille du commerçant. Cela fit grand bruit dans le village, mais Jökull tint bon et finit pat obtenir gain de cause.

Freyja supporta avec patience et résignation les débuts de son mariage, son mari était brutal, à la limite de la violence avec elle, et prit avec plaisir la place de maîtresse de maison quand ses beaux-parents périrent dans un naufrage lors d’un voyage en Europe.
Elle tomba enceinte et accoucha d’un vigoureux garçon, Svein puis ne partagea plus le lit de son époux par dégoût et par peur. 10 ans durant, elle le supporta, ses colères, ses humeurs, ses nombreux maîtresses même parmi la domesticité. Il tenait bien son domaine et les revenus étaient plus que confortable, ce qui permettait à rendre la vie plus douce à Freyja et son fils qu’elle aimait beaucoup et qui promettait de devenir bien meilleur que son père. Freyja recevait les nobles dames de la région, organisait des réceptions prisées et s’instruisait beaucoup malgré la réprobation de Jökull. Il y avait assez de satisfaction dans sa vie pour oublier l’homme avec qui elle la partageait.

Mais ce fragile équilibre ne dura pas plus longtemps. Peu après les fêtes de noël, son mari fut traduit en justice pour avoir tué une jeune femme vendant ses faveurs au coin d’une ruelle, et d’une façon particulièrement sanguinaire.
Il nia toujours les faits, mais les preuves étant évidentes, il fut exécuté.
Freyja n’écouta jamais les arguments de son époux. Elle le savait capable d’horreurs pareilles, et cacha son déshonneur et sa chute sociale derrière une attitude froide et digne.
Elle devait maintenant s’occuper seule d’un domaine considérable, avec à sa charge sa jeune belle-sœur qui ne s’était jamais marié et son fils, sans savoir le moins du monde comment s’y prendre. Elle refusa l’aide de son Père et de ses Frères, et tenta de faire face. On ne lui laissa pas le temps de faire ses preuves…




>> Etreinte : Freyja n’était pas sensible aux charmes des autres hommes ordinairement. Bien sûr, veuve, elle en aurait eu le droit mais elle n’en éprouvait pas le besoin. Pourtant, quand l’étranger anglais Peter Fitzroy arriva dans la région pour s’installer, il mit ses nerfs à rude épreuve.
La jeune veuve louait une dépendance de son domaine afin de faire rentrer de l’argent et il souhaita être locataire et profita de l’établissement d’un contrat pour la rencontrer plus souvent que nécessaire.
C’était un très beau jeune homme d’environ 30 ans, tout à fait captivant. Il ne lui parlait que de sujets qui la passionnaient, et quand il ouvrait la bouche, elle était pendue à ses lèvres. Tout en lui l’attirait et elle refusa à plusieurs reprises de le recevoir, elle ne voulait pas craquer, elle ne voulait pas enchaîner de nouveau sa vie à un homme alors qu’elle était libre et relativement riche pour le moment. Mais elle n’eut pas le choix.

Un soir, il lança la conversation sur son époux et lui demanda si elle n’avait jamais douté de sa culpabilité. Elle répondit que non, alors il lui avoua avec un naturel déconcertant que c’était en fait lui, le responsable, dans le simple but de s’approcher d’elle et la rendre accessible. Elle tenta de fuir, mais il lui barra la route, et lui expliqua. Il était un vampire, et il allait faire d’elle une vampire fascinante. Elle n’eut même pas le temps de hurler quand il planta ses crocs dans sa gorge pour boire de grande goulée de sang chaud et faire d’elle son égale.




>> Non-vie : De ses débuts de Vampire, peu de choses lui sont restées. Elle se souvient de sa fuite éperdue avec son Sire vers l’Europe. Ne la retrouvant ni elle ni Peter Fitzroy, on avait conclu à un enlèvement et le domaine était revenue à sa jeune belle-sœur, qui prenait la garde de son neveu.
Elle se souvient de sa soif dévorante, et plus encore de sa colère contre Peter tandis qu’il lui expliquait les règles de son nouveau monde, tandis qu’elle se rendait compte sur son ancien époux, aussi laid et violent soit-il, était mort pour rien, que la justice s’était trompé sur toute la ligne.
Elle se souvient du sentiment de puissante qui naissait en elle tandis que mourraient les scrupules de tuer des humains afin de survivre.
Elle se souvient de l’insistance de Peter auprès d’elle et de son refus toujours plus fort.
Elle se souvient de l’impression de voir chavirer l’histoire, de pouvoir tout voir mais de ne jamais vraiment en faire partie.
Elle se souvient de certaines fuites, prise en chasse par des chasseurs humains particulièrement pugnaces qu’elle finissait par dévorer.
Oui, elle se souvient de ses débuts dévastateurs contenus par Peter, avant qu’elle ne se calme un peu et qu’elle fasse le point sur ce qu’elle allait faire d’une non-vie infinie…

Elle passa 50 ans de son existence avec Peter. Ils voyagèrent beaucoup. La France, l’Italie, l’Espagne, jamais ils ne retournèrent en Islande. Il lui présenta les communautés étrangères afin qu’elle ait, comme lui, des contacts internationaux. Il lui apprit à se servir de son puissant don de Télékinésie. A se faire passer pour un humain dans la société.
Puis un soir de pleine lune, il voulut lui montrer des Lycans. L’idée ne lui plaisait guère mais elle l’avait suivit malgré tout. Et ce fut le drame. Peter avait le gros défaut d’être incroyablement arrogant, il se croyait invincible. Il se fit attaquer. Freyja ne prit même pas la peine d’essayer de le défendre. Comme elle avait tourné le dos à son époux humain quand il avait été exécuté, elle fit de même avec Peter, et s’enfuit vivre sa non-vie, enfin seule.

Elle refusa toujours de prendre un calice. Cela ne l’intéressait pas de faire plaisir à un humain juste pour des services rendus. L’argent pouvait offrir beaucoup de chose, et elle s’employa à en gagner beaucoup en se lançant dans une carrière d’avocat international.
Faire appliquer la justice, pour qu’il n’y ait plus jamais d’erreur, en tout cas pas avec elle. Elle s’inventa une maladie, une allergie au soleil qui la couvrait devant les humains sur le fait qu’elle ne pouvait sortir la journée et fabriqua les papiers pouvant le prouver. Elle recevait ses clients le soir et la nuit, et refusait de défendre les coupables, ce qu’elle sentait tout de suite. Elle gagnait tous ses procès, et sa carrière continua plus d’une centaine d’année encore.
Elle s’était fixée en France, à Paris. Elle avait peu de rapports avec la communauté vampirique française, juste quand cela était nécessaire. Elle aimait plus que tout sa solitude et sa tranquillité.

Puis elle se fatigua de défendre des humains fourbes, menteurs et sournois. Elle se mêla plus aux communautés internationales, sans pour autant s’y faire "d’amis", afin de se tenir au courant de ce qu’il se passait dans le monde occulte.
Beaucoup de chose à vrai dire.
Freyja ne regrettait pas d’être une Vampire, elle était très satisfaite de son existence, et voir de jeunes nouveau-nés la mettre en péril la rendait folle de rage. Elle n’était pourtant pas vielle, à peine plus de 200 ans, mais elle se considérait beaucoup plus posé que ces jeunes là dont la seule occupation était tuer, boire, faire la guerre aux Lycans et renverser l’ordre établi. Il y avait tant de choses que les vampires pouvaient faire, et tout ce qu’ils trouvaient à faire était de se détruire entre eux.
Désolant…

Elle se fixa donc comme objectif d’ouvrir les yeux de ses jeunes sur leurs devoirs et responsabilités. Les rencontrer, et essayer d’être diplomate, une qualité qu’elle ne possédait absolument pas.
C’était presque peine perdue.
Les seuls avantages qu’elle trouvait à parcourir le monde étaient de parfaire ses connaissances en langues étrangères (elle parlait l’Islandais et ses dialectes régionaux, le Français, Le Danois, L’Italien, l’Espagnol, le Russe, l’Anglais, le Portugais, un peu d’Arabe et de Suédois) et de travailler son don de Télékinésie, très utile pour barrer la route d’un nouveau-né en fuite avec divers objets se trouvant sur son passage. Les jeunes ne voulant rien entendre, elle finit par exterminer purement et simplement les récalcitrants puisqu’ils ne voulaient entendre raison.

Ces divers actes la firent remarquer par le Chancelier d’Europe, Ezio Leonelli qui lui accorda le titre de Lord, afin qu’elle continue la mission qu’elle s’était fixée.
Ce qu’elle fait depuis, avec beaucoup d’ardeur.

“ Elliot, je suis fatiguée de te courir après, le sais-tu?"
"Alors tuez-moi…” répondit l’inconscient avec hargne et insolence.

Freyja soupira.
Décidément, ces jeunes, il n’y avait rien à faire, rien à en tirer. Voilà bien une raison pour laquelle elle n’avait jamais étreint personne. Donner non-vie à un petit capricieux boudeur, quelle horreur !
Elle jeta un coup d’œil circonspect à sa future victime, acculé dans un coin de l’entrepôt où elle l’avait coincé grâce à ses pouvoirs de Télékinésie.

"Tu préfère donc être anéanti, plutôt que de rejoindre le rang et de t’efforcer à te conduire comme un Vampire bien éduqué et ne pas faire remarquer ta présence ?"

Elliot hocha la tête en signe d’assentiment.

"Je ne comprends pas…" Freyja soupira de plus belle. "Tu as une vie éternelle devant toi, nous sommes assez magnanimes pour te laisser une chance, et tu la sacrifie à ton plaisir de tuer les humains, te faire remarquer et faire la chasse aux loups ? Pourquoi ?”

Les réponses étant toujours les mêmes, la jeune Vampire se cala plus profondément sur la chaise poussiéreuse qu’elle avait trouvé dans un coin et mis son visage entre deux doigts, presqu’ennuyée.

"Parce que vous les vieux, vous restez dans votre petit confort de papi et mamie, à refaire le monde sans rien oser, à tuer de temps en temps un Lycan mais sans oser prendre la décision de les exterminer ! Vous êtes frileux, nous, on changera la face du monde, on élimera jusqu’au dernier Lycan puant de la planète et alors nous serons réellement au pouvoir !"

"Pas toi, jeune Elliot, toi, le jour où cela arrivera, enfin que tu penses que ça arriveras, tu ne seras plus là puisque je suis obligée de te tuer… Cela me peine au fond, tu sais…"

"Mon cul ! Je sais qui vous êtes! Freyja l’Iceberg, vous n’avez aucun sentiments !"

Freyja se leva prestement et en une seconde, se pencha au dessus d’Elliot qu’elle attrapa à la gorge où elle enfonça ses ongles pendant que la tête d’Elliot cognait contre le béton du mur arrière.

“Je t’interdis d’être familier avec moi. Iceberg, Mamie, tu as trop dit jeune immortel !"

Elle le laissa retomber puis recula.

"Alors, ça vient ? Vous faites des menaces en l’air non ? Vous dites que vous allez me tuer mais je ne vois rien venir, je vous fais peur ?"

Freyja se retourna, encore plus en colère pour se planter à quelques pas de lui. Ha ces jeunes, pour qui se prenaient-ils ? Tous plus prétentieux et arrogant les uns des autres ! Insupportables !

“Toi? Un petit jeune d’à peine 45 ans, me faire peur?! Ne présumes pas trop de toi, j’ai… une question à te poser…"

Elliot prit un air hautain et darda ses prunelles vertes dans les siennes pour répondre.

"Laquelle ? Je dois dire que l’accueil que vous me faites ne me donne guère envie d’être consciliant."

Freyja épousseta sa jupe crayon rouge et noire en ricanant sombrement et pris un air dégagé pour demander sur le ton d’une conversation amicale, comme si elle ne s’apprêtait pas à le tuer.

"Dis-moi… Tu connais Yuriko Miara ?"

"C’est possible…" admit-il de mauvaise grâce.

La vampire sourit en dévoilant ses crocs.

"Où se cache-t-elle ?"

Elliot éclata d’un rire qui résonna contre les battants en liège qui occultait le soleil à travers les vitres et répondit :

"Alors là, vous pensez vraiment qu’alors que vous allez me tuer, je vais vous donner la position de celle qui vous échappe depuis des dizaines d’années ? C’est vous qui présumez de vous-même Lord Freyja !"

Elle savait qu’il répondrait cela, alors, elle ne montra pas sa déception, se contentant de répliquer :

"Tant pis… Je t’aurai épargné mais puisque tu ne veux pas rendre ce service à notre communauté…"

Elle sorti un pistolet de la ceinture de sa jupe et le pointa au dessus d’Elliot en haussant les épaules, fataliste.
Le geste lui fit peur, et la panique dans les yeux, il demanda :

"Que faites-vous ?"

Elle sourit un peu cruellement.

"Il fait sombre ici, que dirais-tu d’un peu de lumière ?"

Le regard du jeu vampire suivit la trajectoire de l’arme du Lord et vit avec effarement qu’elle visait une planche en bois cachant le soleil qui se déverserait d’une minute à l’autre par une minuscule lucarne. Juste au dessus de lui. Et il était coincé.
Il entendit alors le bruit d’une balle sortant de son canon et n’eut que le temps de fermer les yeux…

>> Avatar : Scarlett Johansson


>> Comment avez vous connu le forum ? Par Valdemar rpg – Saskia.


>> Une question ? Non ^_^

>> Nom : OK

>> Prénom(s) : OK

>> Surnom(s) : OK

>> Age : OK

>> Age avant l'étreinte : Attention, dans l'histoire, elle rencontre son mari à 18 ans et le supporte 12 ans durant, puis est étreinte après sa mort, donc après 30 ans

>> Pouvoirs : OK

>> Rang : OK

>> Caractère : OK

>> Description physique : OK

>> Origines : Pourrais-tu étoffer un tout petit peu plus cette partie, trois lignes, c'est un tout petit peu peu

>> Enfance : OK

>> Age adulte : OK

>> Etreinte : OK

>> Non-vie : OK

>> Exemple RP : OK

>> Avatar : OK, déjà recensé

>> Comment avez-vous connu le forum : OK

>> Une question ? OK

>> QUELQUES MOTS POUR FINIR <<

Jolie fiche, bien écrite, juste une petite erreur de calcul et un tout petit peu plus sur les origines, et ce sera bon pour moi.