The Dark Side Of The Moon
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Forum RPG sur l'univers sombre des vampires contre les lycans
 
AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
Le deal à ne pas rater :
Bon plan achat en duo : 2ème robot cuiseur Moulinex Companion ...
600 €
Voir le deal

 

 Une Vampire vivant dans le passé

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Jane St John
Vampire - Adulte
Jane St John


Messages : 3
Date d'inscription : 28/06/2011

Une Vampire vivant dans le passé  Empty
MessageSujet: Une Vampire vivant dans le passé    Une Vampire vivant dans le passé  Icon_minitimeLun 4 Juil - 7:56


Fiche signalétique


©crédit avatar
>> Nom : St John

>> Prénom(s) : Jane

>> Surnom(s) : Aucun

>> Age : 247 ans

>> Age avant l'étreinte : 28 ans

>> Pouvoirs :
Télékinésie : peut faire bouger les objets par la pensée. Cependant, plus l'objet est lourd et imposant, plus cela lui demandera de l'énergie. Elle se limite donc à générale à déplacer des objets de petites ou moyennes tailles.

>> Rang : Sans



Caractère

Brillante et intelligente, Jane est loin d’être une tête de linotte. Son écart de conduite quand elle était adolescente lui a appris à se tenir sur ses gardes et à ne pas faire confiance au nouveau venu surtout s’il est humain. Du fait qu’elle soit vampire, elle a beaucoup étudié et lu. Aussi possède-t-elle une grande culture générale.
Elle ne possède pas un grand respect de la vie humaine. De par son histoire, le fait qu’elle ait été condamnée à mort pour n’être que noble et pour avoir suivie les pas de son mentor et compagnon Marcus, elle ne voit les êtres humains que comme un moyen de se nourrir.
Loin d’être idiote, elle sait aussi qu’elle ne doit pas trop se faire remarquer. Elle se limite donc à tuer pour se nourrir et non pas pour le plaisir. Elle a vu Marcus sombrer dans l’addiction au meurtre et au sang aussi fait-elle très attention à finir de la même manière.
Jane se montrera toujours sous son meilleur jour. De son éducation, elle garde de traces. Elle ne montre jamais ses sentiments. Il faut toujours paraître et non être. C’est tout un art de vivre. Elle ne se montrera sous son vrai jour qu’avec ses pairs et encore, seulement si vous rentrez dans son intimité. Jusqu’ici seul Marcus a eut ce plaisir.




Description physique

De taille moyenne, Jane fait dans les un mètre soixante-huit. Elle se remarque aisément car d’une grande beauté avec un côté ténébreux relatif à sa nature de vampire. De longs cheveux couleur de nuit encadrent son minois aux traits fins. Sa peau, déjà pâle à l’origine, est encore plus pâle que pour certains vampires. Elle ne se colore que lorsqu’elle vient de se nourrir. Le sang qu’elle boit la teinte légèrement de rose. De grands yeux bleus éclairent son visage fin. Un joli petit nez surmonte des lèvres charnues et attirantes. Des lèvres qui invitent aux baisers. Ceux-ci étaient généralement mortels mieux vaux s’abstenir de draguer la belle ténébreuse.
Pour le reste de sa personne elle est plutôt mince. Une taille fine et des hanches un peu arrondies se terminent par des jambes longues et fines. Sa poitrine est plutôt généreuse et elle n’hésite pas à la mettre en valeur avec des décolletés plongeants.





Histoire

C’est en 1761 que la jeune Jane vit le jour dans le manoir des St John à Londres. Sa famille était l’une des plus en vue et une des plus réputées de toute la capitale britannique. Il n’y avait pas un bal, pas une fête sans que Mary et George St John ne soient invités. La famille était ancienne et jouissait depuis de nombreux siècles d’une excellente réputation. L’histoire voulait que la premier St John soit arrivé en Angleterre avec Guillaume le Conquérant et est combattu à ses côtés lors de la bataille d’Hastings en 1066. C’est là que la famille aurait obtenu ses quartiers de noblesse. Une récompense pour avoir aider Guillaume à conquérir l’île. Depuis, les St John se succédaient en mettant un point d’honneur à avoir un comportement exemplaire comme l’exigeait leur rang. Propriétaire de nombreuses terres, leur fortune était impressionnante et les faisait vivre plus que confortablement.

Jane vécu donc dans l’opulence et les règles de bonne vie. Bien que ses parents l’aiment, ils étaient peu présents et l’enfant fut confiée d’abord à une nourrice puis à de nombreux précepteurs. Elle grandit en apprenant la valeur de sa famille et l’importance de son rang par rapport aux autres gens, ceux du commun. La jeune fille devenait de plus en plus belle au fur et à mesure qu’elle grandissait. Une fleur qui attirait bon nombre de papillons que son père avait bien du mal à contenir. Il craignait un peu pour la pureté de sa fille bien aimée, sa seule enfant, qui se devait d’être encore vierge pour son mariage. Cependant, il eut beau faire les soupirants ne lâchaient pas la donselle. Celle-ci adorait être l’objet de tant d’attention et de sollicitude. Il ne se passait pas une journée sans qu’elle ne reçoive des fleurs, des rubans, des bijoux ou d’autres cadeaux quelconques.

Mais à seize ans, une jeune fille peut facilement perdre la tête face à un beau parleur. C’est ce qui se produisit face à un jeune homme d’une vingtaine d’années, Neil Lackey. Celui-ci savait parler et vanter la beauté de miss St John comme personne. Il la comblait de cadeaux et d’attentions chaque jour que Dieu faisait. Son comportement distingué et noble le faisait même apprécier de la famille de Jane. Mais son père refusa la demande en mariage au grand désespoir de sa fille qui lui en voulu terriblement. La pauvre s’était éprise du jeune homme et souhaitait ardemment l’épouser. Malgré ses supplications, son père ne fléchit pas. Il refusa obstinément, essayant d’expliquer à sa fille chérie que ce garçon n’était peut-être pas sérieux. Sa famille n’était pas connue et son passé était plutôt obscure. Folle de colère, Jane s’enfuit de la maison familiale, emportant avec elle quelques effets. Neil fut ravi de voir la demoiselle le rejoindre et l’accueilli à bras ouverts. La jeune fille considéra que c’était un conte de fée qui commençait et ce fut le cas mais pour bien peu de temps. Les quelques biens qu’elle avait ramené avec elle, des bijoux surtout, furent bien vite revendus et l’argent dilapidé en quelques semaines. Six semaines, c’est le temps que dura l’idylle. Six semaines pendant lesquelles l’argent coula à flots ainsi que les attentions de sieur Lackey. Mais lorsque l’argent se tarit, l’homme renvoya sans une once de regret la jeune fille. Il se fit cruel et se montra sous son vrai jour. Quelqu’un de froid et de calculateur. Un homme qui séduisait les jeunes filles de bonne famille, prenait leur argent avant de lâchement les abandonner dès l’instant où elles n’avaient plus un seul centime. Et ce moment était venu pour Jane. Elle ne comprenait pas, elle ne comprenait rien. Elle ne savait pas où était passé le charmant jeune homme qui lui faisait la cours, lui achetait tous les jours des fleurs et lui faisait tendrement l’amour. Il avait disparu, c’était évanoui. Sans autre forme de procès, il l’a mis à la porte, lui conseillant de revenir quand elle aura de nouveau de l’argent.

Effondrée, sans endroit où aller, elle repartit vers la demeure familiale. Son père la reçut, soulagée de voir l’oisillon revenir vers son nid mais aussi particulièrement furieux contre elle. Elle s’était déshonorée et avait déshonoré son nom. Son père lui assena un long discours moralisateur auquel elle se plia en pleurant. Elle savait qu’elle avait été particulièrement idiote. George la renvoya dans sa chambre avec interdiction de sortir jusqu’à ce qu’il eut pris une décision la concernant. Une décision qui mit trois jours à venir. Trois jours pendant lesquels la jeune fille pleura tout son soul. Elle mangea bien peu et dormit beaucoup entre deux crises de larmes. Comment avait-elle pu être aussi aveugle ? Aussi stupide ? Aussi naïve ? Elle se jura bien de ne jamais plus se laisser avoir de la sorte. Le troisième jour, son père l’appela pour lui annoncer la suite des évènements. Il trônait dans le salon, le regard froid.


« Entrez ma fille ! – celle-ci s’avança – Vous m’avez beaucoup déçue. Vous ne m’avez pas écouté. Vous avez préféré suivre un beau parleur et quitter votre famille. Une famille qui vous aimait plus que tout. Vous vous êtes déshonorée, vous nous avez déshonorés et vous avez déshonoré votre nom, celui des St John ! – il soupira – Vous ne pourrez demeurer en ces lieux. Vous allez devoir subir les conséquences de votre acte stupide. Nous avons décidé avec votre mère de vous faire quitter Londres et l’Angleterre pour quelques temps. Nous avons des amis proches en France, à Paris. Vous allez y aller afin que vous méditiez un peu sur tout ça. Allez faire vos bagages. Vous partez demain ! »

George se mit à regarder par la fenêtre. Tout dans son attitude montrait qu’il ne changerait pas d’idée. D’ailleurs Jane n’essaya pas de l’en faire changer. Elle inclina la tête.

« Bien père. Je ferais selon votre désir. »

Elle avait déjà désobéi une fois. Elle ne comptait pas recommencer de si tôt. Elle fit ses bagages et quitta Londres le lendemain. Alors qu’elle s’éloignait de sa demeure en fiacre, elle jeta un coup d’œil vers sa maison. Elle pleurait pourtant elle ignorait qu’elle n’y reviendra jamais. Quelques jours plus tard, elle se retrouva à Paris. La famille l’accueillit très bien et le couple, des Anglais expatriés, Sarah et John, la considérèrent comme leur fille. Ils n’avaient jamais eu d’enfant et étaient ravis d’avoir une jeune fille avec eux.

L’exil fut donc tout relatif. Elle reprit ses habitudes de jeune fille de bonne famille et poursuivit sa vie. Quelques années plus tard, quand elle eut 22 ans, elle reçut une lettre de son père lui expliquant qu’il lui pardonnait et qu’elle était la bienvenue à la maison mais Jane refusa. Elle avait grandie, murie et voulait rester à Paris. Surtout que beaucoup de choses changeaient. La jeune femme fréquentait de manière assidue les salons et les clubs de philosophie qui fleurissaient à tous les coins de rues. La colère du peuple grondait contre la royauté. Jane prenait part aux discussions et avait son avis sur la situation. Elle était partisane d’une monarchie parlementaire. Elle ne pouvait renier la monarchie et la noblesse dont elle faisait partie même si c’était la noblesse anglaise.

Les évènements finirent par se précipiter en 1789. Le peuple se souleva brutalement et la ville devint un vrai coupe-gorge pour les nobles. Jane en fit d’ailleurs les frais. Après la prise de la Bastille en juillet, elle fut arrêtée au mois d’Août et conduite par plusieurs hommes, des Sans-culottes, jusqu’à la Bastille où elle fut emprisonnée. Sans même avoir été jugée, elle fut condamnée à la guillotine, le 10 octobre 1789. Miss St John tenta de faire appel, de demander à passer devant un jury mais rien n’y faisait. Elle était noble, elle devait mourir. Qu’elle soit étrangère ne changeait rien. Pire, cela ne la rendait que plus coupable encore.

Le matin de son exécution, un homme se présenta devant la porte de sa cellule. Jane ne dormait pas. Elle ne pouvait pas. Son esprit revenait vers sa famille et elle se reprocha de ne pas les avoir écouté, de ne pas être rentré comme son père lui avait demandé. Mais c’était trop tard, dans quelques heures, la guillotine allait s’attarder sur son cou et trancher sa chair. Elle allait mourir. Les mains jointes, elle supplia le ciel de lui venir en aide.


« Dieu répond-t-il à tes prières mon enfant ? »

Jane releva la tête vers le nouveau venu. Dans la nuit et vu le faible éclairage des torches, elle ne pouvait distinguer ses traits. D’autant plus que son visage était caché sous un capuchon. Néanmoins, il semblait particulièrement grand et carré. La jeune fille se releva. Elle était déjà dans la robe blanche de coton qu’elle porterait lors de l’exécution. Elle n’avait plus que le prêtre et le coiffeur à voir. Le prêtre pour se confesser et obtenir l’extrême onction et le coiffeur qui devait lui couper les cheveux.

« Êtes-vous le prêtre qui doit me confesser ? »

Elle ne put le jurer mais Jane sentit l’homme sourire.

« Et si je l’étais que me dirais-tu ? »

« Je ne sais pas. J’ai mené une vie bien remplie. J’aurai voulu qu’elle se prolonge. J’ai commis de nombreux pêchés et fais beaucoup d’erreurs. »

« Tout le monde en fait. S’en rendre compte est déjà une victoire. Gardien ! »

Un homme arriva. Le même qui apportait le repas de la jeune femme. L’homme en noir sembla lui donner quelque chose. Au son, on aurait dit de l’argent, des pièces. Le gardien hocha la tête, prit la bourse et ouvrit la cellule. La silhouette pénétra dans la prison et s’avança, ombre immense, vers Jane.

« Non, je ne suis pas prêtre mais je vais néanmoins te donner l’absolution ! »

Sans attendre, il se jeta sur elle, l’attrapa lui faisant pousser un cri alors que ses crocs s’enfonçaient dans son cou. Jane ne comprenait rien mais elle sentait le liquide vital s’écouler de son corps et nourrir celui qui la tenait. Il lui donnait la mort. Elle s’en rendait compte et finalement peut-être était-ce mieux ainsi. Mourir simplement là sans avoir à affronter la foule, les quolibets, le bourreau, la guillotine. Là, c’était rapide et silencieux. Cela préservait l’intégrité de son corps. Les larmes coulèrent de ses beaux yeux avant qu’ils ne se ferment. Dans un souffle, celui qu’elle pensait être le dernier, elle dit un mot, un simple mot à l’homme.

« Merci »

L’homme s’arrêta soudain. Jane, elle, perdit connaissance. Quand elle rouvrit les yeux, elle était ailleurs que dans sa prison, sans savoir où. Il faisait noir. Elle avait froid. L’homme se présenta de nouveau à elle. Il était penché sur elle. Ses yeux sombres semblaient la transpercer.

« Si tu veux vivre, fais-ce que je te dis. Veux-tu vivre encore ? »

L’Anglaise cligna des yeux et émit un faible « oui ». Oui, elle voulait vivre encore. L’homme lui sourit franchement et lui tendit son poignet. Quelque chose coulait. Du sang ! Elle refusa l’espace d’un instant avant qu’il ne lui colle son poignet contre sa bouche.

« Bois si tu veux vivre ! »

Jane obéit et se mit à boire. Le sang coulait dans son corps à présent. Un corps qu’elle sentait paradoxalement mourir et revivre en même temps. C’était étrange mais bien vite le sang prit un goût particulier. Il y avait quelque chose de plus. C’était bon. Jane buvait encore et encore mais l’homme finit par s’arracher à elle.

« Ça suffit… ou tu vas me vider petite idiote ! »

Une douleur fulgurante saisit la jeune femme. Elle se cambra et cria. Son cœur commençait doucement à ralentir, à ralentir encore. Elle allait mourir. Elle le sentait. Pourtant, elle n’avait pas peur. Les yeux sombres se rivèrent au sien.

« Ne t’inquiètes pas, ton corps meurt mais c’est tout. Tu vas voir bientôt, tu te sentiras bien mieux. Surtout quand tu feras ton premier repas ma belle ! »

Les paroles étaient douces et apaisantes. La jeune femme se laissa alors doucement partir. Elle ne chercha pas à lutter et se laissa mourir. Elle ferma les yeux et sentit son cœur s’arrêter. Elle perdit connaissance quelques instants. Lorsqu’elle revint à elle, tout semblait avoir changé autour d’elle. Tout avait changé et en même temps tout était pareil. Malgré tout, l’Anglaise ressentait les choses différemment, à un autre niveau. Elle voyait beaucoup mieux dans le noir. Elle voyait presque comme en plein jour. L’homme était toujours là et elle pouvait, cette fois, distinguer chacun de ses traits. Il avait des traits fins, aristocratiques, sa peau était claire et faisait ressortir ses yeux d’un noir profond. Une couleur en parfaite harmonie avec ses cheveux de jais coupés courts.

« J’ai faim ! »

Ce furent ses premiers mots en tant que vampire. Elle avait faim, si faim. Mais elle ne voulait aucune nourriture classique. Elle voulait ce qu’il lui avait donné peu de temps avant, du sang ! Elle fut surprise par ce fait. L’homme éclata de rire devant son étonnement et commença à lui expliquer les choses.

« C’est normal que tu es faim. Je t’ai quasiment vidée de ton sang et je ne t’en ai pas suffisamment donné pour que cela te remette d’aplombs. Tu as besoin de sang frais si tu veux vivre. Tu es une vampire à présent ! »

« Une vampire ? »

Jane fut surprise mais bizarrement, elle l’accepta en cet instant sans difficultés. Elle avait voulu vivre, humaine ou vampire, peut lui importait. Il se releva et l'aida à faire de même. Elle se sentait faible, très faible.

« Viens, on va aller chercher à manger »

Il s’empara de la main de la demoiselle et commença à avancer dans les couloirs sombres. Tout en avançant, il lui expliqua les grandes lignes du vampirisme et lui donna son nom « Marcus ». A sa grande surprise, ils étaiens toujours à la Bastille. Marcus lui expliqua que c’était son garde-manger pour le moment. La situation étant ce qu’elle était, quelques pièces suffisaient pour lui donner accès aux prisonniers. Sa chasse en était grandement facilitée. Il l’amena devant une cellule et comme il l’avait fait pour elle, il paya le geôlier pour faire ouvrir la cellule. Il entra et l’entraina derrière lui. Devant eux, un noble condamné à mourir tout comme Jane l’avait été.

« Voici ton premier repas ma douce. Il doit être exécuté demain. La guillotine n’est pas le plus beau moyen de mourir. Alors que boire son sang est beaucoup plus… plaisant »

Visiblement l'homme ne comprenait rien et ses yeux passaient de l’un à l’autre, affolés. Elle se rappela alors quand Marcus était venu me donner la mort. Jane avait préféré cette mort-là à la guillotine. Cet homme préfèrerait sans doute une mort douce qu’à une mort brutale. Jane sentait le sang pulser dans son corps. Son cœur accélérait. Il avait peur mais il sentait si bon. L’odeur du sang lui parvenait si bien. Elle lui sauta dessus et planta ses crocs dans sa jugulaire. Le sang se mit alors à couler en elle, la faisant reprendre vie. C’était si bon, si délicieux. Elle buvait et buvait encore jusqu’à la dernière goutte. Quand elle lâcha l’homme, il était totalement exsangue et elle, elle se sentait plus vivante qu’elle ne l’avait jamais été. Le vampire s’approcha d’elle et essuya la goutte de sang qui coulait le long de ses lèvres.

« Tu as aimé n’est-ce pas ? Tu verras, tu aimeras de plus en plus. Je t’apprendrai aussi à tuer dehors. La chasse c’est passionnant même si c’est plus dangereux. Mais tu verras bien. Viens ! Je dois aussi aller manger. »

Bien vite, Jane emboita le pas à Marcus. Curieusement, elle ne se posait pas de questions. Elle ne s’en posa pas d’ailleurs pendant un bon moment comme si sa transformation avait anesthésiée une partie de son cerveau. Elle suivit Marcus qui lui apprit tout ce qu’il y avait à savoir sur le monde des vampires et l’Anglaise apprit tout consciencieusement. En bonne élève, elle sut très vite chassée. Elle traquait et tuait sans une once de remords. Elle prenait ça comme une simple règle de la chaine alimentaire. Les hommes tuaient des animaux pour vivre et se nourrir. Les vampires tuaient les hommes pour se nourrir et pour vivre. De là à considérer que les humains étaient du simple gibier, il n’y avait qu’un pas. Un pas franchit par Marcus depuis longtemps. Jane, elle, était encore au tout début de sa vie de vampire. Elle tuait facilement en suivant son compagnon.

Cependant, la soif de son mentor devenait chaque jour plus grande, presque anormale. Il tuait bien plus qu’il n’aurait du. Deux, trois parfois quatre personnes mourraient sous ses crocs en une nuit. Il semblait complètement intoxiqué par le sang. Jane commença à prendre peur devant cette frénésie qui ne semblait pas vouloir cesser. Les années passant, la police commença à s’intéresser à ces meurtres multiples. Pire, des chasseurs de vampires s’y intéressèrent aussi. Le couple se trouva obligé de fuir dans toutes l’Europe mais le vampire ne se calmait pas pour autant et continuait sa tuerie. Jane compris que si elle voulait vivre sans craindre les chasseurs, elle devait quitter Marcus. Cependant, elle n’osait l’affronter aussi préféra-t-elle le fuir. Elle prit un billet pour les États-Unis et arriva à Los Angeles pour tenter de commencer une nouvelle vie. La ville cosmopolite et excentrique lui offrait une population importante qui pouvait bien perdre une personne toutes les nuits. Après tout, des meurtres à Los Angeles il y en avait des dizaines par jour. Les meurtres perpétrés par Jane ne viendraient que grossir des statistiques. Elle ne craignait pas grand-chose… Du moins, c’est ce qu’elle pense…




Exemple RP

{Ecrire ici. A l'appréciation des admins.}




Hors-jeu

>> Avatar : Liv Tyler

>> Comment avez vous connu le forum ? Grâce à une des admins

>> Une question ? Non, ça va.




Dernière édition par Jane St John le Lun 11 Juil - 7:51, édité 5 fois
Revenir en haut Aller en bas
Jane St John
Vampire - Adulte
Jane St John


Messages : 3
Date d'inscription : 28/06/2011

Une Vampire vivant dans le passé  Empty
MessageSujet: Re: Une Vampire vivant dans le passé    Une Vampire vivant dans le passé  Icon_minitimeDim 10 Juil - 20:16

Voilà, ma fiche est terminée ^^
Revenir en haut Aller en bas
Abigail Brittany Cornwell
Sorcière
Abigail Brittany Cornwell


Messages : 136
Date d'inscription : 15/10/2010
Age : 32
Localisation : Los Angeles

Une Vampire vivant dans le passé  Empty
MessageSujet: Re: Une Vampire vivant dans le passé    Une Vampire vivant dans le passé  Icon_minitimeDim 10 Juil - 20:46

Bonsoir et bienvenue ! cheers

Juste quelques petits détails concernant ta fiche : il y a quelques petites fautes par ci par là, et tu passes parfois de la troisième personne à la première dans la narration, c'est un peu étrange.

En dehors de ça, pas de souci, à part que tu arrives à New-York et que nous sommes à Las Vegas et Los Angeles (plutôt Las Vegas d'ailleurs pour les vampires).

En tout cas, ravie de te voir parmi nous ! Je te laisse faire une petite relecture avant de te valider.
Revenir en haut Aller en bas
https://darksideofthemoon.forums-actifs.com
Jane St John
Vampire - Adulte
Jane St John


Messages : 3
Date d'inscription : 28/06/2011

Une Vampire vivant dans le passé  Empty
MessageSujet: Re: Une Vampire vivant dans le passé    Une Vampire vivant dans le passé  Icon_minitimeLun 11 Juil - 7:53

Voilà, corrigé ^^

J'ai passé toute la narration à la 3e personne et modifié New York en Los Angeles.

J'ai essayé de corriger les fautes au maximum. J'espère que cela ira Smile
Revenir en haut Aller en bas
Abigail Brittany Cornwell
Sorcière
Abigail Brittany Cornwell


Messages : 136
Date d'inscription : 15/10/2010
Age : 32
Localisation : Los Angeles

Une Vampire vivant dans le passé  Empty
MessageSujet: Re: Une Vampire vivant dans le passé    Une Vampire vivant dans le passé  Icon_minitimeMer 13 Juil - 10:16

Tout bon pour moi, tu es validée ma chère ! cheers

Bon jeu parmi nous !
Revenir en haut Aller en bas
https://darksideofthemoon.forums-actifs.com
Contenu sponsorisé





Une Vampire vivant dans le passé  Empty
MessageSujet: Re: Une Vampire vivant dans le passé    Une Vampire vivant dans le passé  Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Une Vampire vivant dans le passé
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Exemple de fiche : Vampire
» [Vampire] Alexei Dragnof ft. Ian Somerhalder
» [Vampire] Ian Somerhalder | Alexei Dragnov
» [Vampire] Lord Freyja Olöf [By Meg]
» [Vampire] Nikki Heat Maxwell

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
The Dark Side Of The Moon :: Bienvenue dans notre monde... :: Le Registre des Personnages :: Nos Habitants-
Sauter vers: